La Française Océane Cassignol, qui a terminé, ce vendredi, à la 7e place du 10 km eau libre dans la Seine, a notamment déploré la présence de ronces.
L’eau de la Seine a réservé quelques mauvaises surprises aux nageuses du 10 km eau libre. Pas à cause de sa qualité, qui a été pointée du doigt à de très nombreuses reprises depuis le début des JO 2024, mais de la présence de ronces, qui a parfois blessé les athlètes contraintes de nager le long des quais pour se protéger des courants plus fort que la normale.
#Paris2024 | Petit conseil d'Océane Cassignol qui revient sur le parcours et sa stratégie de course.
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«Ils auraient pu couper les ronces quand même parce que sur le jardin qu’il y a sur l’eau, on s’est pas mal coupée les mains et les bras», a confié Océane Cassignol au micro de France Télévisions. La Française (24 ans), qui disputait ses premiers Jeux olympiques, a finalement terminé à la 7e place juste devant sa compatriote Caroline Jouisse.
«Les filles sont parties assez rapidement. J’ai essayé de trouver des vagues et des pieds un peu partout, mais je me suis retrouvée vachement toute seule et, encore une fois, ce n’est pas mon type de course. C’était dur», a déclaré Océane Cassignol à l’issue de la course remportée par Sharon Van Rouwendaal.
La Néerlandaise, en or à Rio et en argent à Tokyo, est parvenue à éviter tous les pièges pour s’offrir à nouveau l’or devant l’Australienne Mosha Johnson et l’italienne Ginevra Taddeucci. Les hommes prendront le relais, ce vendredi (7h30), et ils sont prévenus : ils devront se méfier des ronces.