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Paris : un homme mis en examen pour le viol d’une mineure de 11 ans

Le suspect est très défavorablement connu des services de police. [DENIS CHARLET / AFP]

Un homme âgé de 31 ans a été mis en examen après son interpellation par la brigade de protection des mineurs (BPM), sur un quai de la gare de l’Est dans le 10e arrondissement à Paris. Il est soupçonné d’avoir violé une petite fille.

Il est très défavorablement connu des services de police. Un homme de nationalité française et âgé de 31 ans, a été mis en examen pour le viol d'une jeune fille de 11 ans. Il avait été interpellé ce jeudi 13 avril par la brigade de protection des mineurs (BPM), sur un quai de la gare de l’Est dans le 10e arrondissement à Paris.

D’après des sources policières à CNEWS, les faits se sont ainsi déroulés dans l’après-midi du mercredi 12 avril. La jeune victime avait quitté un centre de rééducation de la parole, situé rue du Faubourg Saint-Martin, dans le 10e arrondissement de Paris, et se rendait chez sa tante, à douze minutes à pied.

C’est alors qu’en chemin, elle a remarqué qu’un homme la suivait. Dix minutes après, à proximité du domicile de sa tante, l’individu l’a soudain attrapée de force par le bras, pour la conduire dans un renfoncement aux abords d’un parking souterrain.

Identifié grâce à des images de vidéosurveillance

Le suspect lui aurait ensuite demandé son âge, avant de la contraindre à une fellation et de quitter les lieux en direction de la gare de l’Est, où il a été interpellé le lendemain. La jeune victime de son côté s’est rendue chez sa tante.

Toujours selon les même sources, cette dernière a aussitôt averti la police de ce qui était arrivé à sa nièce, mais aussi le père de la fillette qui a tenté en vain, de retrouver le violeur présumé de sa fille.

Le jour même, les policiers de la brigade de protection des mineurs se sont rendus sur les lieux du viol pour établir des constations. Ce sont eux qui ont interpellé le suspect à la gare de l’Est en ayant analysé au préalable des images de vidéosurveillance.

A noter que l'auteur présumé des faits est également très défavorablement connu des services de police, notamment pour vols par effraction, violences volontaires, délits routiers, violences avec arme ou encore infraction à la législation sur les stupéfiants. 

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