Après 13 jours d’échanges dans l’Hémicycle, le Premier ministre, Edouard Philippe, est monté à la tribune pour faire usage de l’article 49.3. Il permet au gouvernement de faire adopter sans vote du Parlement le projet de réforme des retraites.
Une décision, qui a suscité de vives critiques dans l’opposition.
Le gouvernement s'expose donc désormais à une motion de censure qui conformément à la Constitution, doit être déposée dans les 24 heures et qui ne sera adoptée qu’à la majorité des membres composant l’Assemblée.