Des associations de riverains, qui représentent environ 700 personnes, demandent à la SNCF de baisser la vitesse des trains.
Ces familles, qui habitent près d'une ligne grande vitesse, menacent d'attaquer la SNCF devant le tribunal administratif pour la perte de valeur de leur maison, estimée entre 25 et 35%.
Trois plaintes ont déjà été jugées recevables par le tribunal administratif de Nantes.