Star des JO 2024 de Paris cet été, Léon Marchand a révélé être passionné par les Rubik’s Cube dans ses jeunes années. Le nageur de 22 ans pouvait même les terminer en moins de 20 secondes.
Il a de l’or dans les doigts. Cet été, Léon Marchand est devenu la star des JO 2024 de Paris en remportant quatre titres de champion olympique, faisant de lui l'athlète le plus décoré des Jeux. Mais le nageur français n’est pas seulement bon dans les bassins. Dans l’émission Clique sur Canal+, qui sera diffusée le 2 octobre prochain, le Toulousain a révélé avoir une autre passion, qui lui vient de son père : le Rubik’s Cube.
«Mon papa m’en a acheté un quand j’étais gamin. Je me souviens que lorsque je n’arrivais pas à dormir, je venais le réveiller et on allait jouer aux échecs. On parlait de Rubik’s Cube, il m’a appris 2-3 trucs. Il ne savait pas le faire mais il voulait que j’apprenne», a-t-il raconté à Mouloud Achour.
Environ 15 secondes
Après un entraînement assidu et des heures de visionnage de vidéos sur internet, le nageur a fini par se tester en compétition. «J’ai même participé aux Championnats de France à Toulouse, pour dire que je suis un peu aventurier. Ça faisait à peine deux mois que j’en faisais, je me suis dit allez on y va (sourire) J’ai été un des plus mauvais ce jour-là», s'est souvenu Léon Marchand.
"J'ai fait les championnats de France de Rubik's Cube"
La 1ère interview de Léon Marchand après les JO, dès demain sur myCANAL. pic.twitter.com/x0iTjGA67W— CLIQUE (@cliquetv) September 27, 2024
En toute décontraction, le Toulousain a remémoré ses jeunes années, Rubik’s Cube à la main. S’il affirme ne plus avoir «le même niveau qu’avant», lorsqu’il pouvait «le résoudre en à peu près 15 secondes», le nageur français a tout de même surpris Mouloud Achour en lui rendant un de ces fameux cubes terminé.
Désormais, le champion olympique s’est concentré sur la natation, sans oublier pour autant sa jeune passion. «Je l’emmène partout, ça me permet de me recentrer sur moi-même», a-t-il révélé. Décoré à cinq reprises (4 médailles d’or, une en bronze) à Paris, cet été, le Toulousain a sûrement exposé ses breloques à côté de ses Rubik’s Cube. «Tu verrais mon étagère, j’en ai une vingtaine», a-t-il raconté. On espère qu’il obtiendra autant de médailles aux Jeux olympiques.