À l’occasion de la fête nationale de l’Arabie saoudite, ce lundi, le club Al-Hilal a publié une vidéo de Neymar sur ses réseaux sociaux. Le Brésilien a apporté son soutien au royaume du Golfe, en vue de sa candidature à l’organisation du Mondial 2034 de football.
Neymar, nouvel ambassadeur de l’Arabie saoudite ? Alors que le royaume du Golfe s’est positionné pour organiser la Coupe du monde 2034 de football, le Brésilien a apporté son soutien au futur pays hôte. Dans une vidéo publiée par son club Al-Hilal, en marge de la fête nationale de l’Arabie saoudite ce lundi, le joueur de 32 ans a défendu la candidature saoudienne.
«Je suis très heureux pour le pays. Je pense que le pays mérite cette reconnaissance, cette opportunité d’accueillir une Coupe du monde. Les gens du monde entier auront l’occasion d’en apprendre plus sur la culture saoudienne, sur le pays, donc, ce sera une belle expérience d’être ici avec tout le monde», a insisté l’ancien attaquant du PSG.
L'Arabie saoudite mise sur le sport
Actuellement, l’Arabie saoudite est le seul pays à avoir officialisé sa candidature pour le Mondial 2034. La décision finale sera prise par la FIFA, qui devrait désigner l’hôte de la compétition à la fin de l’année. Pour rappel, fin octobre 2023, la Fédération australienne avait annoncé renoncer officiellement à l’accueil de la 25e édition de la Coupe du monde. Faisant de l’Arabie saoudite la seule candidature pour l’événement.
Pour la promouvoir, les dirigeants saoudiens ont donc décidé de s’appuyer sur la star brésilienne. Arrivé en Saudi Pro League à l’été 2023, le Brésilien n’a en revanche pas eu l’occasion de briller avec son nouveau club. Absent des terrains depuis la mi-octobre 2023, après une rupture des ligaments croisés du genou gauche, Neymar ne compte que cinq matchs avec Al-Hilal.
L’attaquant de 32 ans faisait pourtant partie d'un vaste plan d’investissement du royaume, qui tourne son économie vers les compétitions sportives. Le royaume désertique accueillera d’ailleurs les Jeux asiatiques d’hiver de 2029, avec un projet appelé Neom, d’un montant de plusieurs centaines de milliards de dollars.