Hervé Morin à propos de la nomination de Michel Barnier : «Je trouve que c'est un choix judicieux», dans #SoirInfo pic.twitter.com/PYPXe3jJ5H
— CNEWS (@CNEWS) September 5, 2024
La journaliste Charlotte d'Ornellas revient sur la nomination de Michel Barnier : «On a envie d'entendre son discours de politique générale», dans #Facealinfo pic.twitter.com/wSc3IKyENI
— CNEWS (@CNEWS) September 5, 2024
Merci cher @GabrielAttal pour ton engagement au service du pays.
Toutes mes félicitations républicaines à @MichelBarnier pour sa nomination en tant que Premier ministre.
Dans l'intérêt de notre pays, il sera nécessaire de trouver des compromis de la gauche progressiste à la…
— Élisabeth BORNE (@Elisabeth_Borne) September 5, 2024
Merci @GabrielAttal de ta confiance et de la solidité de notre relation durant ces 8 mois. Je peux témoigner de ton engagement sans faille pour répondre à l’immense crise agricole que nous avons traversée ensemble. Tu l’as fait avec esprit d’écoute, sens du dialogue et force…
— Marc Fesneau (@MFesneau) September 5, 2024
— CNEWS (@CNEWS) September 5, 2024
«Je pense qu'on attend d'un Premier ministre qu'il dise la vérité, même si cette vérité est difficile. La vérité d'abord sur la dette financière et sur la dette écologique qui pèse aujourd'hui déja lourd sur les épaules de nos enfants. On attend qu'il dise la vérité sur la manière d'augmenter encore l'influence de notre pays en Europe, et sur le rôle vital que tiennent et que jouent dans tous nos territoires les acteurs du monde de l'économie», s'est exprimé Michel Barnier pour sa premère prise de parole en tant que Premier ministre.
«Nous sommes dans un moment grave, j'aborde cette nouvelle page qui s'ouvre avec beaucoup d'humilité», a déclaré Michel Barnier lors de la passation de pouvoir à Matignon ce jeudi.
Gabriel Attal, ancien Premier ministre, a été largement ovationné lors de sa sortie de Matignon pic.twitter.com/VhOFlfAUAb
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Gabriel Attal, ancien Premier ministre : «Il y a une frustration à quitter mes fonctions au bout de 8 mois seulement» pic.twitter.com/Z7z1nx9KEq
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Gabriel Attal : «Etre Premier ministre est l'honneur d'une vie» pic.twitter.com/F9KlhF748z
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Gabriel Attal, ancien Premier ministre : «Je veux dire aux Français combien je les aime» pic.twitter.com/zkUmjlsdXH
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«Je veux remercier tous les Français rencontrés ces derniers mois. J'emporte avec moi vos visages, vos vies, vos doutes, votre force de caractère, votre sens du devoir, votre aspiration à l'unité et à la concorde. Je veux dire aux Français combien je les aime ».
«Je tiens à vous féliciter cher Michel Barnier. Les Français vous connaissent et savent que vous avez une expérience quasiment inégalée, quelqu'un qui a mené à bon port des négociations aussi dures que celles autour du Brexit, doit savoir manoeuvre dans le paysage politique français que nous connaissons aujourd'hui», s'est exprimé Gabriel Attal dans la cour de Matignon.
Le nouveau Premier ministre Michel Barnier est arrivé à Matignon pour la traditionnelle passation de pouvoir avec Gabriel Attal.
Renaud Muselier à propos de la nomination de Michel Barnier au poste de Premier ministre : «C'est une bonne solution», dans #Punchline pic.twitter.com/MUHS9rZEEr
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Communiqué de presse
Michel Barnier ne dispose ni de la légitimité politique, ni de la légitimité républicaine. #PremierMinistre
Le groupe socialiste censurera le Gouvernement de Michel Barnier.
➡️ https://t.co/zoOULGKj2j pic.twitter.com/LGCPSMYqNP
— Parti socialiste (@partisocialiste) September 5, 2024
Monsieur le Premier Ministre, cher @GabrielAttal, vous avez été un chef d’équipe inspirant, courageux et exemplaire d’engagement, par tous les temps.
Merci pour votre confiance.
Je suis honorée d’avoir travaillé à vos côtés pour promouvoir le sport pour tous, ses valeurs et… pic.twitter.com/tVbtSqJZHp
— Amélie Oudéa-Castéra (@AOC1978) September 5, 2024
Le nouveau premier ministre @MichelBarnier défend la retraite à 65 ans.
Le mépris du vote des Français est total. pic.twitter.com/zliM534AEY
— PCF (@PCF) September 5, 2024
La présidente de l'Assemblée, Yaël Braun-Pivet, a demandé jeudi au président de la République la convocation d'une session extraordinaire du Parlement, soulignant que le Premier ministre doit "pouvoir se présenter devant la représentation nationale pour exposer ses priorités et participer à des séances de questions".
L'Assemblée doit "également reprendre des travaux qui ont été interrompus par la dissolution et qui répondent à des préoccupations exprimées par les Français lors des dernières élections législatives, en matière de sécurité, de pouvoir d'achat, de santé, de logement, de protection de la jeunesse ou des populations les plus fragiles", écrit-elle dans un courrier à Emmanuel Macron.
J’adresse mes souhaits de réussite républicaine au nouveau Premier ministre Michel Barnier qui est un homme respectable.
Sa nomination est malheureusement le symbole de la dilution d’une certaine droite dans la macronisme.
Elle confirme l’alliance électorale secrète bâtie avec…
— Eric Ciotti (@eciotti) September 5, 2024
Le Rassemblement national (RN) a "donné une forme de quitus" à la nomination de Michel Barnier à Matignon, a dénoncé jeudi le député et ancien président socialiste François Hollande, pour qui le nouveau Premier ministre devra "s'en expliquer" devant l'Assemblée.
"Il y a la quasi certitude" que, si M. Barnier a pu être désigné par le président Macron, "c'est parce que le RN, précisément l'extrême droite, a donné une forme de quitus", a analysé M. Hollande, qui s'exprimait devant des journalistes à la foire de Châlons-en-Champagne. "Je crois qu'il aura devant l'Assemblée à s'en expliquer", a-t-il ajouté.
Le dirigeant des Républicains Laurent Wauquiez a félicité jeudi Michel Barnier, issu du même parti, pour sa nomination à Matignon, assurant qu'il avait "tous les atouts pour réussir dans cette difficile mission qui lui est confiée".
"C'est un homme d'une grande qualité", a affirmé M. Wauquiez sur X, sans préciser si sa formation, qui compte 47 députés à l'Assemblée, restait sur sa position de ne pas entrer au gouvernement.
J'adresse mes félicitations à Michel Barnier pour sa nomination à Matignon.
C'est un homme d'une grande qualité qui a tous les atouts pour réussir dans cette difficile mission qui lui est confiée.— Laurent Wauquiez (@laurentwauquiez) September 5, 2024
Michel Barnier a été nommé Premier ministre ce jeudi par Emmanuel Macron, à la suite d’une longue série de consultations. Très expérimenté, le nouveau locataire de Matignon, issu des Républicains, et son futur gouvernement devront surmonter certaines épreuves, au risque de se faire censurer.
Retrouvez notre article complet ici.
Eric Coquerel, député NFP de Seine-Saint-Denis, à propos de la nomination à Matignon de Michel Barnier : «On va avoir comme Premier ministre quelqu'un issu de la quatrième formation de ces élections» #180MinutesInfo pic.twitter.com/9oQHPUj11h
— CNEWS (@CNEWS) September 5, 2024
Je demande au Président de la République de convoquer une session extraordinaire dans les meilleurs délais. Le Premier ministre @MichelBarnier doit pouvoir s'exprimer rapidement devant la Représentation nationale et nous permettre de reprendre nos travaux entamés sous la… pic.twitter.com/qZAFOHsgPl
— Yaël Braun-Pivet (@YaelBRAUNPIVET) September 5, 2024
La passation de pouvoir entre Gabriel Attal et Michel Barnier aura lieu à 18h.
Michel Barnier, ex-ministre et ancien commissaire européen, a été nommé nouveau Premier ministre par Emmanuel Macron ce jeudi. Figure expérimentée des Républicains au riche parcours en France et à l’échelle européenne, son profil a fait la différence auprès du chef de l'Etat.
Retrouvez notre article complet ici.
La nomination de Michel Barnier est une double négation du résultat des élections.
Alors que le Nouveau Front Populaire est arrivé en tête des élections, le parti de Michel Barnier a fait 6,5% aux élections législatives et a 40 députés à l’Assemblée nationale.
Alors que le…
— Manuel Bompard (@mbompard) September 5, 2024
Dans une prise de parole qui intervenue à la suite de la nomination de Michel Barnier, Jean-Luc Mélenchon a estimé que "l'élection avait été volée au peuple français".
Il appelle également à la "mobilisation la plus puissante que possible".
Le déni démocratique porté à son apogée : un premier ministre issu du parti qui est arrivé en 4e position et qui n’a même pas participé au front républicain. Nous entrons dans une crise de régime.
— Olivier Faure (@faureolivier) September 5, 2024
Quelques minutes à peine après l'annonce de la nomination de Michel Barnier à Matignon, la cheffe de file du Rassemblement national à l'Assemblée nationale a commenté le choix d'Emmanuel Macron : «On a demandé à ce que nos électeurs soient respectés», a-t-elle déclaré. pic.twitter.com/W4M6fGrOEX
— CNEWS (@CNEWS) September 5, 2024
Après 52 jours d’un gouvernement battu dans les urnes, Macron continue de se vivre comme en autocrate.
En nommant Michel Barnier, le Président refuse de respecter la souveraineté populaire et le choix issu des urnes.
Contre ce coup de force inacceptable dans une démocratie,… pic.twitter.com/9ROvx2Xec8
— Mathilde Panot (@MathildePanot) September 5, 2024
J’adresse à @MichelBarnier et à son gouvernement tous mes vœux de succès au service de la France et dans l’intérêt des Français face aux nombreux défis qui s’annoncent.
— Xavier Bertrand (@xavierbertrand) September 5, 2024
Le patron du RN Jordan Bardella a assuré ce jeudi que son parti "jugera sur pièces le discours de politique générale" de Michel Barnier, avant de se déterminer sur une censure de son gouvernement, après sa désignation comme Premier ministre.
"Nous plaiderons pour que les urgences majeures des Français, le pouvoir d'achat, la sécurité, l'immigration, soient enfin traitées, et nous nous réservons tout moyen politique d'action si ce n'était pas le cas dans les prochaines semaines", a-t-il affirmé sur X (anciennement Twitter).
Après une attente interminable, indigne d’une grande démocratie, nous prenons acte de la nomination de Michel Barnier comme Premier ministre d'Emmanuel Macron.
Les 11 millions d'électeurs du Rassemblement National méritent le respect : c'est notre exigence première.
Nous…
— Jordan Bardella (@J_Bardella) September 5, 2024
Emmanuel Macron a demandé au nouveau Premier ministre Michel Barnier de "constituer un gouvernement de rassemblement au service du pays", a déclaré ce jeudi l'Elysée dans un communiqué.
"Cette nomination intervient après un cycle inédit de consultations au cours duquel, conformément à son devoir constitutionnel, le président s’est assuré que le Premier ministre et le gouvernement à venir réuniraient les conditions pour être les plus stables possibles et se donner les chances de rassembler le plus largement", a ajouté la présidence.
Emmanuel Macron a nommé jeudi l'ex-ministre et ancien commissaire européen de droite Michel Barnier, 73 ans, comme Premier ministre, a annoncé l'Elysée 60 jours après le second tour des élections législatives qui ont débouché sur une Assemblée nationale dépourvue de majorité.
Le plus vieux Premier ministre de la Ve République succède ainsi à Matignon à Gabriel Attal, 35 ans, qui était lui le plus jeune. Il va devoir tenter de former un gouvernement susceptible de survivre à une censure parlementaire, pour mettre fin à la plus grave crise politique de la Ve République.
Le Président de la République a nommé Monsieur Michel BARNIER Premier ministre. Il l’a chargé de constituer un gouvernement de rassemblement au service du pays et des Français. pic.twitter.com/beWhuEh42L
— Élysée (@Elysee) September 5, 2024
L'ex-ministre et ancien commissaire européen de droite Michel Barnier, désormais favori pour Matignon, a quitté l'Elysée ce jeudi peu après 13h après un entretien avec Emmanuel Macron, ont constaté des journalistes de l'AFP.
Le probable futur Premier ministre a été raccompagné dans le vestibule par le chef de l'Etat, qui l'a salué d'une poignée de main, avant que Michel Barnier ne s'engouffre dans sa voiture.
La nomination de Michel Barnier à Matignon serait imminente. La cérémonie de passation de pouvoir est attendue à 16h à Matignon.
La piste évoquant Michel Barnier comme éventuel nouveau Premier ministre a suscité l’agacement, voire la colère, des politiques de tous bords, dénonçant ce nouveau profil.
Retrouvez notre article complet ici.
L'ancien Premier ministre Bernard Cazeneuve a assuré jeudi qu'il aurait accepté d'être nommé à Matignon par "devoir", précisant ne pas avoir eu d'échange avec le président de la République depuis lundi.
"Je ne fais pas de demande en la matière (..) Mais si on m'en avait fait un devoir, je l'aurais fait", a affirmé M. Cazeneuve, interviewé sur BFMTV et LCI. Interrogé sur la possibilité pour lui de ne pas être censuré à l'Assemblée nationale, il a souligné que "la meilleure manière de savoir cela, c'est de nommer un Premier ministre et de (le) laisser faire son travail".
La patronne des Ecologistes Marine Tondelier a dénoncé jeudi les nouveaux atermoiements d'Emmanuel Macron pour trouver un Premier ministre, estimant qu'il était "soumis" au Rassemblement national, et qu'"à la fin, on sait qui décide, c'est Marine Le Pen".
"Profondément désespérée du spectacle que l'on offre aux Français", Marine Tondelier a dit sur franceinfo avoir "honte" et être "écœurée" de ces 60 jours d'attente pour trouver un locataire pour Matignon.
Pour le RN, Michel Barnier, dernier nom cité pour Matignon, est un "fossile" de la vie politique qui "ne fait pas rêver" mais le Marine Le Pen n'a pas dit clairement ce mercredi matin s'il le censurerait immédiatement comme un Xavier Bertrand.
Emmanuel Macron "fait du Jurassic Park en permanence, c'est-à-dire aller rechercher des fossiles à qui on essaie de redonner vie", a déploré le député Jean-Philippe Tanguy sur France inter. Michel Barnier, 73 ans, "est non seulement un fossile mais un fossile fossilisé de la vie politique, tout ce qu'il a pu faire est un échec", a-t-il ajouté, laissant entendre que le RN ne lui laisserait pas sa chance.
Tonalité un peu différente chez le vice-président du parti Sébastien Chenu sur RMC. Tout en soulignant que Michel Barnier "ne fait rêver personne" et que l'ancien commissaire européen et négociateur du Brexit est "soumis à la doxa européenne", M. Chenu n'a pas fermé la porte.
"J'attends de voir. Est-ce que Michel Barnier s'engage sur la proportionnelle? Pas sûr, car il vient d'une famille, Les Républicains, qui est très hostile à la proportionnelle", a souligné M. Chenu.
«Premier ministre issu de la gauche modérée qui soit capable de ne pas hystériser la droite» et «qui est capable d’incarner une figure d’autorité», a insisté ce matin sur Sud Radio la ministre Ministre démissionnaire déléguée à l’Agriculture Agnès Pannier-Runacher.
«Le pays ne penche pas à droite, dès lors qu’on considère que le Rassemblement national n’a pas vocation à gouverner, ça veut dire que le barycentre de l’Assemblée nationale est plutôt à gauche», a-t-elle expliqué.
Nous subissons sidérés le pire du macronisme, la
rupture démocratique d’ @EmmanuelMacron aveuglé par son hubris :Décider seul la dissolution, nier les résultats, faire une alliance entre les deux partis perdants, nommer un premier ministre issu d’un parti zombie qui a rejeté le…
— Yannick Jadot (@yjadot) September 5, 2024
Invité sur France Inter ce jeudi, le député Rassemblement national de la Somme Jean-Philippe Tanguy a qualifié Michel Barnier, dont le nom circule pour Matignon, de «fossile de la vie politique».
Recherche d'un Premier ministre : @JphTanguy estime qu'on fait "du Jurassic Park en permanence" : "On va rechercher des fossiles à qui on essaie de redonner vie." #le710inter pic.twitter.com/V9zANbWnkZ
— France Inter (@franceinter) September 5, 2024
La capacité à ne pas être renversé d'emblée par une motion de censure, motif invoqué pour refuser la nomination de la candidate du Nouveau front populaire Lucie Castets, reste à l'ordre du jour. Et ce critère pourrait être venu à bout des hypothèses Xavier Bertrand et Bernard Cazeneuve, dont les noms étaient cités mardi soir à l'Elysée.
Plusieurs membres du camp présidentiel évoquent un "front anti-Bertrand" qui s'est élevé en Macronie contre nomination, donnée mercredi comme très probable, du président des Hauts-de-France, membre du parti Les Républicains et tenant d'une droite sociale.
Le Rassemblement national et le Nouveau Front populaire menaçaient de fait de le censurer d'emblée.
Ex-Premier ministre socialiste mais non assuré de recueillir le feu vert du PS qu'il a quitté, Bernard Cazeneuve a lui été écarté par Emmanuel Macron car il voulait rester "droit dans ses bottes" sur un programme de gauche, sans rechercher d'emblée des compromis avec le centre, estime un cadre macroniste.