La nouvelle prime à la casse, qui constituait une promesse de campagne d'Emmanuel Macron, devrait être présentée par le ministre de la Transition écologique, Nicolas Hulot, en septembre.
Le gouvernement souhaiterait, selon Les Echos, que davantage de foyers en bénéficient, alors que seuls 242 ménages en avaient profité en 2016. L'objectif est d'accélérer la transition vers des véhicules moins polluants, en diminuant notammant la part des véhicules diesel au profit des véhicules essence, électrique ou hybride.
Actuellement, les automobilistes doivent se séparer d'un véhicule diesel de plus de dix ans, et peut alors bénéficier de 2.500 euros en acquérant une hybride rechargeable et 4.000 euros pour l'achat d'un véhicule 100% électrique.
Les ménages non imposables ont pour leur part droit à 1.000 euros lorsqu'ils achètent un véhicule essence neuf ou d'occasion de norme Euro 6 (500 euros s'il est de norme Euro 5).
Les gouvernement envisagerait ainsi, selon Les Echos, de faire bénéficier tous les foyers de cette aide, sans conditions de revenus, et de doubler la prime pour les foyers modestes. Elle pourrait ainsi atteindre 2.000 euros.