L’île paradisiaque de «Cayo Culebra», qui s’étend sur 36 hectares au sud-est du Mexique, est mise en vente par l’agence immobilière Iad pour 68 millions de dollars, soit plus de 63 millions d’euros. L’acheteur devra toutefois respecter des consignes écologiques strictes et ne pas construire sur plus de 15 % de la surface totale.
Un endroit de rêve qu’il convient de préserver. L’île vierge et paradisiaque de «Cayo Culebra», en plein cœur de la Riviera Maya (au sud-est du Mexique), est actuellement à vendre pour la somme de 68 millions de dollars, soit plus de 63 millions d’euros.
Véritable décor de carte postale, avec son eau bleu turquoise, ses plages de sable fin et sa végétation luxuriante, l’île, située à 10 kilomètres de l’aéroport de l’Ascension, est inhabitée et complètement déserte.
Afin de préserver la faune et la flore présente sur l’île, l’agence immobilière Iad derrière cette vente a mis en place quelques contraintes écologiques à respecter pour l’acheteur potentiel. Malgré la possession intégrale de l’île octroyée lors de la vente, la Commission nationale des zones naturelles protégées du Mexique contrôlera le respect des critères fixés avant l'achat.
Seuls les matériaux naturels autorisés pour construire sur cette île du Mexique
Parmi les différentes contraintes décrites dans l’annonce de vente, il est spécifié que le futur acquéreur ne pourra pas construire au-delà de 10 à 15 % de la surface totale de l’île.
«Cayo Culebra est véritablement exceptionnelle, représentant le dernier bastion vierge de la Riviera Maya, dans l’une des régions les plus paradisiaques du Mexique. Tant que la biodiversité et les espèces naturelles sont préservées, tout individu intéressé peut faire de cet endroit son acquisition et concrétiser un rêve», a résumé Jean-Noël Ravel, le conseiller immobilier chargé de la vente, sur le site Iad relayant l’annonce.
Les seules constructions autorisées devront donc être réalisées grâce à des matériaux naturels comme le bois.
Enfin, les seuls aménagements possibles sur l’île seront des cabines, des huttes sur pilotis, des bungalows ou encore des «palapas», à savoir de petites paillotes sans mur avec un toit de chaume ou des feuilles de palmiers.