A un peu plus de six mois du choix final du CIO, le 13 septembre, Paris n’a jamais semblé aussi proche de remporter l’attribution des Jeux olympiques de 2024.
Hambourg, Rome et Budapest, qui s’est retiré mercredi soir… Les concurrents de la capitale jettent l’éponge un par un. Un rival de taille, Los Angeles, se dresse encore sur la route des JO, mais son dossier a du plomb dans l’aile.
La métropole californienne pâtit fortement de l’arrivée au pouvoir de Donald Trump. Car s’il a affiché son soutien à la cité des Anges, sa politique fait du tort à la candidature. Ainsi, la tenue d’une compétition semble incompatible avec le «muslim ban».
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De leur côté, les responsables de la candidature parisienne ne souhaitent pas communiquer pour l’instant, se gardant bien de crier victoire.
Mais le CIO pourrait opter pour une autre solution : attribuer successivement les Jeux aux deux candidats. Soit, par exemple, Paris en 2024 et Los Angeles en 2028. Le président Thomas Bach avait jugé en décembre que «le processus olympique générait trop de perdants».
La décision pourrait être prise lors d’un rassemblement des instances olympiques, en juillet.