Les supporters du Paris Saint-Germain ne veulent pas être tenus responsables des violences qui ont émaillé la soirée de dimanche, à l'occasion de la finale de Ligue des Champions. Ils dénoncent des amalgames avec les bandes de casseurs.
Ce lundi, devant le stade comme devant la boutique des Champs-Elysées, certains supporters insistent : il faut distinguer les amoureux du club parisien des autres.
Les ultras parisiens se savent surveillés par les autorités. En février 2010, un supporter du PSG avait trouvé la mort lors d'incidents entre groupes rivaux près du Parc des Princes. Ce drame avait entraîné leur dissolution, puis leur interdiction jusqu'en 2016.