François Hollande était l'invité de Jean-Pierre Elkabbach, dans #Repères. L'ancien président de la République s'est exprimé sur la lutte contre la Covid-19, ses relations avec Donald Trump et la gouvernance de son successeur, Emmanuel Macron.
En temps de crise sanitaire où «notre société peut être bousculée» par un virus, l'ancien chef de l'Etat a réclamé un «besoin de cohésion», appelée par le chef de l’Etat, et dans laquelle «chacun doit prendre sa part».
François Hollande s'est également exprimé sur le président américain Donald Trump, qui vit les derniers jours de son mandat à la Maison Blanche. Pour l'ancien pensionnaire de l'Elysée, Donald Trump est quelqu’un de «particulier» qui «s’inspirait d’un populisme qui avait trouvé aussi sa place en Europe». Son mandat a été «plus fort, intense, plus vulgaire qu’on aurait pu l’imaginer», «une remise en cause de toutes les institutions américaines», a-t-il regretté.
Enfin, François Hollande s'est de nouveau exprimé sur son successeur, sa manière de gouverner et sur le «macronisme». D'après lui, «l’exercice solitaire du pouvoir n’est pas la bonne manière d’exercer» même si «parfois c’est nécessaire». «Le problème du macronisme est qu’il n’y a pas de doctrine», a-t-il affirmé.