Canicules, sécheresses, pluies diluviennes... Déjà plus intenses et plus fréquents, les extrêmes météo des étés de l'hémisphère nord vont aussi durer plus longtemps, même avec un réchauffement de la planète limité à +2°C, selon une étude publiée lundi 19 août.
Les canicules de plus de deux semaines pourraient augmenter de 4% en moyenne.
Les périodes de 7 jours de précipitations importantes pourraient, elles, connaître une hausse de 26%.
Si les émissions de gaz à effet de serre ne diminuent pas de manière significative, on se dirige même vers un réchauffement de 3 degrés.