Lundi, pour Le Petit Journal, le journaliste Martin Weill a tendu son micro à un petit garçon et son père venus se recueillir sur les lieux des attentats.
A la question de savoir s’il comprenait ce qu’il s’était passé, le garçonnet explique que «les méchants, ce n’est pas très gentil». Une phrase suivie d’un dialogue bouleversant avec son père qui fini par lui expliquer que, si les «méchants» ont des «pistolets», «nous, on a des fleurs et des bougies» pour se protéger. Et quand on sait ça, et bien tout de suite, «ça va mieux».