Kate Middleton «continue de bien se porter», a fait savoir le palais de Kensington jeudi 29 février, pour faire taire les rumeurs autour de son état de santé, précisant que seules des «mises jours significatives» seront communiquées.
Une mise au point. Le palais de Kensington sort du silence face aux rumeurs autour de l’état de santé de la princesse qui circulent sur les réseaux. Des rumeurs alimentées notamment par l’absence du Prince William pour «raisons personnelles» à une cérémonie commémorative, en mémoire de son parrain, ce mardi 27 février.
Alors que l’épouse du fils aîné du roi Charles III n’est pas apparue publiquement depuis son opération abdominale, mi-janvier dernier, le porte-parole du palais a assuré, jeudi 29 février, à la presse américaine que la princesse allait bien. La princesse «continue de bien se porter», a ainsi déclaré Kensington au média People.
Seules des «mises à jour significatives» seront partagées
Pas question pour autant de donner plus de détails, a fait savoir l’Institution, qui reste fidèle aux annonces faites en début d'année. «Le Palais de Kensington a clairement indiqué en janvier le calendrier du rétablissement de la princesse et nous ne fournirons que des mises à jour significatives», a insisté son porte-parole hier, cité par The Hollywood Reporter. «Cette orientation est maintenue», a ajouté ce dernier, laissant entendre que la princesse reprendrait bien ses fonctions officielles après Pâques, soit au plus tôt le 31 mars.
Pour rappel, dans un communiqué officiel publié le 17 janvier dernier, le palais de Kensington avait annoncé que la princesse Kate Middleton avait subi «avec succès» une opération chirurgicale abdominale «programmée».
L’institution avait noté à l'époque que la mère de George, Charlotte et Louis ne reprendrait pas ses fonctions publiques avant Pâques, partageant par ailleurs le souhait de la princesse de maintenir «les informations concernant son état de santé dans la sphère privée».
Le palais de Kensington avait déjà fait savoir dans ce communiqué que, par conséquent, il ne fournirait «des précisions sur l’évolution de l'état de son altesse royale, uniquement dans le cas d'une information significative à partager». Un cap qui ne dévie pas d'un iota.