Venu évoquer son autobiographie «Meilleur album» au micro d’Europe 1, David Hallyday a réagi aux propos tenus par ses demi-sœurs Jade et Joy, qui l’ont récemment accusé de les avoir abandonnées.
Indulgent. Alors que Joy et Jade Hallyday ont accusé début décembre, David Hallyday et Laura Smet, les deux premiers enfants du Taulier, de les avoir abandonnées après le décès de leur père précisant qu’elles ne pourraient jamais leur «pardonner», le fils aîné de Johnny Hallyday a réagi à cette prise de parole ce week-end sur Europe 1.
L’auteur-compositeur et interprète de 57 ans, qui dans son autobiographie écrit qu’il aimerait que Jade et Joy «soient sûres de l’amour qu’il leur porte » précisant «ma porte leur est ouverte. Si un jour elles le veulent, je serai là pour elles», a été interrogé sur la possible influence à laquelle les deux jeunes filles de 19 et 15 ans seraient soumises.
Une situation malheureuse
«Sans reparler de ce procès d’intention et d’héritage, maintenant ça fait six ans et ça ne ramènera pas mon père, je ressens vraiment ce que je dis. Ce sont mes sœurs», a expliqué l’artiste. «Je pense qu’il est toujours malheureux et triste de mettre des jeunes filles ou des enfants, à une place inconfortable pour elles et de les faire subir ce genre de choses quand elles n’ont pas tous les tenants et aboutissants, quand elles n’ont pas fait leur vie encore», poursuit-il. «Elles n’ont pas une expérience de vie énorme. Je pense qu’elles ne sont pas responsables de ce qu’elles font, elles sont encore trop jeunes», souligne par ailleurs le fils aîné de Johnny Hallyday.
Évoquant ensuite sa propre vision des choses, il poursuit : «Je trouve dommage de mêler des enfants si jeunes à des choses comme ça, et ce que ce soit dans n’importe quelle famille. Moi, mes enfants, je les ai beaucoup protégés et j’ai bien fait, mais à chacun sa façon de faire les choses», souligne le beau fils de Laeticia Hallyday. «Mon père et ma mère ne m’ont pas éduqué, ni moi ni personne dans notre famille, à déballer son linge sale en public, ce n’est pas comme ça qu’on fait. Mais bon, après à chacun sa manière de faire», conclut-il.