Huit mois après sa rupture avec Gérard Piqué, Shakira est enfin sortie du silence. «Notre séparation n’est pas une séparation normale», a confié la chanteuse dimanche, à la télévision mexicaine.
Les histoires d’amour finissent mal… et Shakira peut en témoigner. Si elle a récemment multiplié les attaques à l’encontre de son ex, l’ancien footballeur espagnol Gérard Piqué, via des vidéos et des chansons, la chanteuse colombienne s’est enfin exprimée publiquement sur cette douloureuse séparation.
Pour la première fois depuis sa rupture en juin dernier après douze années de vie commune, l’interprète de «Waka Waka», qui était invitée dimanche à la télévision mexicaine et dont ses propos ont été relayés ce mardi par RMC, a avoué qu'il était «encore difficile d'en parler». «Je suis restée silencieuse et j’ai juste essayé de tout traiter. (...) Je suis sous le regard du public, et (…) notre séparation n’est pas une séparation normale. Cela a donc été difficile, non seulement pour moi, mais aussi pour mes enfants», a-t-elle ajouté.
«Plus forte qu'une lionne»
Shakira a déclaré «se sentir plus forte qu’une lionne», après la fin de cette relation mise à mal en raison de l’infidélité présumée de son ex-conjoint. «J'ai rêvé d'une famille avec un père et une mère dans la même maison, a-t-elle reconnu. J'ai été amoureuse de l'amour et j'ai réussi à le comprendre sous un autre angle et à sentir que je me suffis à moi-même aujourd'hui. Quand une femme affronte la vie, elle en ressort plus forte. Maintenant, je me sens complète.»
Interrogée sur les morceaux provocateurs qu’elle a sortis en janvier, à l’instar du titre «BZRP Music Sessions #53», où elle s’en prend directement à Gérard Piqué, Shakira a sobrement répondu : «Mes paroles sont plus éloquentes que moi. J'ai essayé d'être honnête et d'utiliser ma musique comme une catharsis, une thérapie. Elles sont plus efficaces qu'une visite chez un psychologue.»
Mais la peine semble toujours là, tout comme la haine à l’encontre de Clara Chia, l'actuelle petite-amie de Gérard Piqué. En témoigne cette phrase lancée pendant l’interview : «En enfer, il y a une place pour les femmes qui ne soutiennent pas les autres femmes.» C’est dit. La hache de guerre est encore loin d’être enterrée.