Dans la ville de New Plymouth, en Nouvelle-Zélande, Alice Cowdrey a appelé la police indiquant avoir découvert le cadavre décapité d’une femme sur une plage. Sur place, les policiers ont constaté qu’il s’agissait d’une poupée gonflable à usage sexuel dont la valeur est estimée à des milliers de dollars.
Une expérience effrayante. En Nouvelle-Zélande, Alice Cowdrey s’est rendue sur la plage de Tapuae, située au sud de la ville de New Plymouth, afin de promener son chien ce mardi 30 juillet. Mais alors qu’elle se baladait, la jeune femme a aperçu une silhouette de femme dévêtue, allongée sur le dos, la tête enfouie sous le sable et les jambes et les bras étendus.
Woman calls police after mistaking 'realistic' sex doll for body https://t.co/8A4gInvtJr #weirdnews #news #weird #odd
— FunHouse Radio (@FunHouseRadioUS) July 31, 2024
Prise de panique car pensant avoir trouver un cadavre, la jeune femme a alors décidé d’appeler les policiers. Pendant ce temps, son chien, Sadie, ne semblait pas être inquiet. L’animal s’est même approché de la silhouette afin de la renifler.
À leur arrivée sur les lieux, les forces de l’ordre ont constaté qu’il s’agissait en effet d’une poupée gonflable en plastique à usage sexuel. Mais cette dernière était très réaliste au point que la jeune femme l’avait confondue avec un cadavre.
Elle ressemblait «à une figure humaine»
«Je pouvais voir qu'elle avait des ongles et que les orteils étaient très réalistes, de sorte que cela ressemblait vraiment à une figure humaine», a raconté Alice Cowdrey à nos confrères de RNZ.
Gênée, la jeune femme s’est excusée auprès des policiers pour cette «fausse alerte». Néanmoins, des recherches en ligne ont montré qu’une telle poupée valait des milliers de dollars.
«C’est un investissement assez important pour quelqu’un. Elle a pu être volée. Quelqu’un ne va pas simplement la jeter sur la plage et la laisser», a déclaré la police, refusant de donner tout autre commentaire.
Concernant Alice Cowdrey, la jeune femme a expliqué qu’elle avait trouvé, il y a quelques jours, des cadavres de chèvres sur cette même plage. En voyant la silhouette, la jeune femme pensait qu’un «meurtrier en liberté» rôdait dans le coin. Plus de peur que de mal.