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«J’ai trouvé ça terrible» : Donald Trump étrille la cérémonie d'ouverture des JO de Paris et qualifie de «honte» la séquence avec les drag-queens

Plusieurs jours après sa diffusion, la cérémonie d’ouverture des Jeux olympiques de Paris 2024 fait toujours parler d’elle. Ce lundi 29 juillet, c’est Donald Trump, ancien président américain et candidat la présidentielle de novembre, qui s’est exprimé sur le sujet dans une interview télévisée.

«J’ai trouvé ça terrible». Plusieurs jours après le lancement des Jeux olympiques de Paris 2024, la cérémonie d’ouverture du vendredi 26 juillet, qui a rassemblé plus de 22 millions de téléspectateurs rien qu'en France, fait toujours parler d’elle. Dans une interview accordée à la chaine américaine Fox News ce lundi 29 juillet, l’ancien président américain Donald Trump s’est également exprimé sur les différents tableaux artistiques qui ont illuminé la Seine, jusqu’au final de Céline Dion.

Sans mâcher ses mots, l’actuel candidat pour la Maison Blanche s’est montré critique face à la cérémonie d’ouverture, qualifiant notamment la séquence des drag-queens comme une «honte».

«Je suis très ouvert d’esprit», a-t-il affirmé, «Mais j’ai trouvé que ce qu’ils ont fait, c’était une honte». Certains ont en effet interprété la scène, avec Philippe Katerine et Barbara Butch, comme une moquerie du tableau de La Cène, représentant le dernier repas de Jésus avec ses apôtres.

pas de référence chrétienne

Néanmoins, Thomas Jolly, directeur de la cérémonie d’ouverture, a rapidement réfuté l’hypothèse d’une référence chrétienne ce week-end, au plateau de BFM TV : «Ce n’est pas mon inspiration. Il y a Dyonisos qui arrive sur cette table. Il est là parce qu’il est le Dieu de la fête dans la mythologie grecque»

«Vous ne trouverez jamais chez moi une volonté de moquerie et de dénigrer qui que ce soit», a-t-il ajouté.

Interrogé sur le type de cérémonie d’ouverture qu’il aimerait voir pour les Jeux olympiques de Los Angeles, qui auront lieu en 2028, Donald a affirmé que s’il était réélu président à l’issue de l’élection présidentielle, il n’y aurait «pas de représentation de La Cène».

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