Lorsque les paris ont été mutualisés, les possibilités étaient limitées : il suffisait d’avoir le cheval gagnant et éventuellement le second. Aujourd’hui, elles se sont élargies, avec plus de chances de gagner et différents types de gains.
Il existe toute une série de possibilités pour jouer selon les organismes de paris. Les noms de tiercé, quarté et quinté, sont propres au PMU, mais leurs formules sont reprises par ses concurrents, sous d’autres appellations.
> Le Simple. Il s’agit de miser sur le bon cheval, soit en le donnant gagnant (en estimant, au moment de parier, qu’il arrivera premier), soit en le donnant placé (en estimant qu’il arrivera dans les deux ou trois premières places). Les gains sont plus importants dans le premier cas. Ce pari se décline en pari couplé, où l’on donne deux chevaux gagnants ou placés.
> Tiercé ou Trio. Suivant le même principe, le but est cette fois de trouver les trois premiers chevaux, dans l’ordre ou non (gagnants ou placés).
> Quarté Plus. Le quarté exige de trouver les quatre premiers vainqueurs, dans l’ordre ou dans le désordre. Il est également possible de remporter un gain «bonus» en ayant trois des premiers chevaux sur les quatre, quel que soit l’ordre parié.
> Quinté Plus. Il s’agit ici de trouver les cinq premiers de la course, dans l’ordre ou le désordre. Avec, là aussi, des gains prévus si le parieur trouve quatre des chevaux sur les cinq. Le PMU offre la possibilité de multiplier les gains par 10, en choisissant le Quinté Plus : un numéro compris entre 1 et 3 000 s’inscrit aléatoirement sur le ticket du joueur. Chaque jour, un numéro est gagnant.
> ZE X5. Le site de pari en ligne ZeTurf propose aux joueurs de trouver cinq chevaux gagnants dans cinq courses de leur choix, sur un même lieu, et sur une journée. Les gains sont distribués à la fin de la journée.
> Duel. Le site de pari en ligne Turfez soumet au parieur un pronostic sur deux chevaux. Le pari porte sur celui qui arrivera devant l’autre.