Ce samedi, le chaudron qui accueille la flamme olympique tous les soirs a refusé de s'allumer à Manosque (Provence-Alpes-Côte d'Azur). Un problème technique est évoqué.
Le premier couac des JO 2024. Le chaudron olympique, un grand anneau allumé chaque soir pendant le relais de la flamme, a refusé de s'embraser samedi soir. Il aurait été victime d'un problème technique, à l'arrivée d'une troisième étape à travers les Alpes-de-Haute-Provence jusque-là sans accroc. La flamme olympique a pu être sauvée grâce aux gardiens qui ont utilisé leur lanterne.
À Manosque (Provence-Alpes-Côte d'Azur), la nageuse Ophélie-Cyrielle Etienne, médaillée de bronze sur le relais 4x200 m nage libre à Londres en 2012, a tenté, à deux reprises, d'allumer le chaudron, sans jamais y parvenir.
#Paris2024 | Ex-nageuse à succès, Esther Baron participe à la clôture du jour 3 du relais de la flamme dans les rues de Manosque.
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Le premier chaudron avait été allumé par Jul, la star du rap français, mercredi soir à Marseille, sur le Vieux-Port, suscitant la polémique.
Une Drag Queen porteuse de la flamme pour la première fois
Le relais de la flamme, qui va durer jusqu'au 26 juillet avec comme destination finale Paris, s'était jusque-là déroulé sans encombre samedi à travers les Alpes-de-Haute-Provence.
Parmi les dizaines de relayeurs, samedi, ont figuré de nombreux anonymes qui font vivre le sport dans leur département, des agents de la fonction publique ou encore des militants associatifs. Parmi ceux-ci, Martin Namias, alias «Miss Martini», son nom de drag queen, militant pour l'inclusion, qui a porté la flamme à Digne-les-Bains.
#Paris2024 | La drag queen Miss Martini s’empare de la flamme olympique !
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Après avoir parcouru ses 200 mètres perchée sur des talons hauts, coiffée d'une perruque violette, Miss Martini a expliqué aux caméras de France TV vouloir représenter les «valeurs d'unité des Jeux olympiques».
Dimanche, la flamme sera de retour dans les Bouches-du-Rhône, avec un passage à Cassis et une arrivée à Arles.