Les punaises de lit ne sont «pas un motif de panique générale», a rassuré ce mardi le ministre de la Santé Aurélien Rousseau.
Face à l'angoisse qui envahit certains Français, le gouvernement tempère. Le ministre de la Santé Aurélien Rousseau a considéré mardi qu'il n'y avait «pas de panique générale» à avoir face aux punaises de lit, considérées comme «un fléau» par plusieurs responsables politiques et dont la présence a été signalée dans plusieurs lieux rassemblant du public.
«Je pense que ce n'est pas un motif à une panique générale», a assuré le ministre interrogé sur France Inter, reconnaissant toutefois que «quand vous avez des punaises de lit, c'est l'enfer».
La présence de punaises de lit a été signalée ces dernières semaines dans des cinémas, TGV, dans le métro parisien ou la zone d'attente de l'aéroport de Roissy. Mais tous ces cas ne sont pas avérés.
«Ce qui me préoccupe, c'est que les gens ne se fassent pas gruger avec des boites qui leur font payer 2.000 ou 3.000 euros» pour les débarrasser de ces punaises, a affirmé Aurélien Rousseau qui a dénoncé des «abus».