Le pronostic vital de l'un des quatre policiers visés par une attaque aux cocktails Molotov, samedi après-midi à Viry-Châtillon (Essonne), est «engagé», a indiqué dimanche le procureur de la République d'Evry dans un communiqué.
Cet adjoint de sécurité de 28 ans du commissariat de Savigny-sur-Orge (Essonne), «très grièvement brûlé aux mains et sur l'ensemble du corps», a été plongé «dans un coma artificiel» à l'hôpital Saint-Louis à Paris et le sméecins ne pourront se prononcer que dans «dans un délais de 48 heures», a ajouté le procureur Eric Lallement.
A lire aussi : Essonne : quatre policiers blessés par des cocktails Molotov
Quatre policiers qui sécurisaient une caméra de vidéosurveillance ont été blessé samedi, après avoir été attaqués par uen quinzine d'individus armé de cocktails Molotov à Viry-Châtillon (Essonne).
Selon le secrétaire départemental du syndicat de police Alliance 93 Claude Carillo, un des quatre policiers est dans un état grave. «Il a été placé dans un coma artificiel, il est dans un état jugé très très sérieux», a-t-il déclaré ce dimanche au micro de RTL.
Deux agents bloqués dans leur voiture
Peu avant 15 heures, les engins inflammables ont été utilisés contre ces agents qui se trouvaient dans la cité Grande Borne. Ils surveillaient une caméra de vidéosurveillance régulièrement vandalisée par des jeunes du quartier.
Le secrétaire départemental du syndicat a par ailleurs donné des nouvelles d’un autre agent : «on a notre jeune collègue mère de famille de trois enfants, qui est très choquée, qui normalement devrait s'en sortir beaucoup plus facilement que notre jeune adjoint de sécurité».
Ces deux agents ont été bloqués dans leur voiture par les assaillants, relate RTL. «Il y avait deux véhicules. Dans les deux véhicules, il y avait deux fonctionnaires de police. Il faut penser à nos deux autres collègues qui ont été aussi gravement blessés, avec fracture du poignet pour l'un et des brûlures pour les deux. C'était quand même une tentative de meurtre envers nos quatre collègues», a poursuivi Claude Carillo, qui déplore le manque d’effectifs évalué à 300 agents sur le département de l’Essonne.
Holande réclame une peine «à la mesure de la gravité de leur acte»
Après cette agression «inqualifiable et intolérable», le président François Hollande a assuré que «tout sera fait pour retrouver les auteurs de cette attaque et les traduire devant la justice pour qu'ils soient condamnés à une peine à la mesure de la gravité de leur acte.»
«Des actes aussi intolérables appellent des sanctions exemplaires», a réagi le Premier ministre Manuel Valls, ancien élu de l'Essonne. Le ministre de l'Intérieur Bernard Cazeneuve a indiqué qu'il se rendrait au chevet des policiers blessés «dès que possible.»
Selon le secrétaire départemental du syndicat de police Alliance 93 Claude Carillo, un des quatre policiers est dans un état grave. «Il a été placé dans un coma artificiel, il est dans un état jugé très très sérieux», a-t-il déclaré ce dimanche au micro de RTL.
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Peu avant 15 heures, les engins inflammables ont été utilisés contre ces agents qui se trouvaient dans la cité Grande Borne. Ils surveillaient une caméra de vidéosurveillance régulièrement vandalisée par des jeunes du quartier.
Deux agents bloqués dans leur voiture
Le secrétaire départemental du syndicat a par ailleurs donné des nouvelles d’un autre agent : «on a notre jeune collègue mère de famille de trois enfants, qui est très choquée, qui normalement devrait s'en sortir beaucoup plus facilement que notre jeune adjoint de sécurité».
Ces deux agents ont été bloqués dans leur voiture par les assaillants, relate RTL. «Il y avait deux véhicules. Dans les deux véhicules, il y avait deux fonctionnaires de police. Il faut penser à nos deux autres collègues qui ont été aussi gravement blessés, avec fracture du poignet pour l'un et des brûlures pour les deux. C'était quand même une tentative de meurtre envers nos quatre collègues», a poursuivi Claude Carillo, qui déplore le manque d’effectifs évalué à 300 agents sur le département de l’Essonne.
Hollande réclame une peine «à la mesure de la gravité de leur acte»
Après cette agression «inqualifiable et intolérable», le président François Hollande a assuré que «tout sera fait pour retrouver les auteurs de cette attaque et les traduire devant la justice pour qu'ils soient condamnés à une peine à la mesure de la gravité de leur acte.»
«Des actes aussi intolérables appellent des sanctions exemplaires», a réagi le Premier ministre Manuel Valls, ancien élu de l'Essonne.
Le ministre de l'Intérieur Bernard Cazeneuve a indiqué qu'il se rendrait au chevet des policiers blessés «dès que possible.»