La station spatiale internationale a-t-elle frôlé la catastrophe ? Mercredi, une fuite d’ammoniac a peut être menacé l’équipage.
Selon l'agence spatiale russe Roskosmos, ce gaz incolore qui brûle les yeux et les poumons, serait à l’origine du déclenchement d’un signal d’alarme. Un incident qui s'ajoute à une liste déjà longue.
De son côté, la Nasa a refusé de confirmer cette information, estimant qu’il s’agirait du «pire des scénarios». La Nasa estime désormais qu'il s'agirait d'une fausse alerte tout en continuant à en déterminer l'origine.
Evoquant plusieurs autres causes possibles, l’agence américaine s’est contentée de dire que les six astronautes (deux Américains, trois Russes et une italienne) étaient en sécurité, réfugiés provisoirement dans le segment russe de l’appareil.