Invitée de Jordan de Luxe ce mardi 4 juin sur C8, Natacha Amal est revenue sur ses deux mariages et ses deux divorces, laissant entendre avoir été victime d’intimidations et de violences conjugales.
Un touchant témoignage. Invitée ce mardi, sur le plateau de l’émission «Chez Jordan», diffusée sur C8, l’actrice Natacha Amal est revenue sur ses deux mariages et ses deux divorces, précisant n’être plus en couple avec son dernier époux. Interrogée sur les raisons qui l’ont poussée à divorcer, Jordan de luxe a demandé à l’actrice si elle avait été victime de violences. «Parce que j’ai l’impression que c’est ça, malgré cette puissance que vous dégagez», a ainsi lancé Jordan de Luxe. Une question qui a visiblement ému la comédienne de 55 ans.
«Quand vous dégagez de la force, c’est très bizarre, je pense que les prédateurs le sentent. Et sentent que c’est un peu de vernis. Forcément, il y a de la force mais les gens forts sont aussi extrêmement vulnérables sans exception. Il faut arrêter de penser que les gens qui affichent une vraie force sont 100 % forts», a alors répondu Natacha Amal, avant d’expliquer ne pas encore être prête à en dire plus.
Une démarche qui nécessite beaucoup de courage
«J’en parlerai dans un bouquin le jour où j’aurai le courage, parce que je me rends compte que ça va me demander un courage monstrueux mais je n’ai l’ai pas du tout pour le moment», a-t-elle poursuivi, soulignant un peu plus tard qu’elle serait encore sur le plateau la semaine prochaine si elle rentrait dans les détails.
L’actrice, connue du grand public pour avoir campé le rôle-titre de la série «Femmes de loi», a toutefois affirmé : «On peut dire que le niveau n’était pas le même, donc la perversion n’était pas la même et l’efficacité n’était pas la même, mais il y avait quand même des résultats qui étaient similaires même s’ils n’étaient pas proportionnellement égaux».
«Vous êtes-vous retrouvée à l’hôpital ?», s’est alors inquiété Jordan de Luxe. Ce à quoi l’actrice a répondu par la négative, assurant, visiblement émue : «j’étais prête à me battre à un moment donné».
Si elle confie s'être sortie de ces relations visiblement toxiques, ce n’est pas sans y «avoir laissé des plumes et j’ai mis à chaque fois quelques années à m’en remettre», conclut-elle.