Ce mercredi 21 février, l’animateur de M6 a dévoilé avec émotion les différentes étapes de la réalisation de sa statue au musée Grévin, sur son compte Instagram.
Aux côtés des plus grands. Sur les réseaux sociaux, ce mercredi 21 février, Stéphane Plaza a partagé une photo d’une ébauche de la future statue à son effigie qui devrait entrer au Musée Grevin.
«Maman ! Depuis les cieux, je sais que tu m’observes, que tu me protèges du mieux que possible. Tu me parfumes de ton amour. J’apprends à vivre sans toi et je fais mon possible pour que tu continues à être fière de moi…. Maman, je rentre au Musée Grévin !», a déclaré le présentateur télé en légende d’une photographie de lui, tenant le moulage de son visage sur un plateau sur Instagram.
Sa mère, décédée d’un cancer de la plèvre en 2016, l’emmenait régulièrement dans le lieu culte dans son enfance. Stéphane Plaza a poursuivi sa déclaration : «Fasciné, émerveillé je suis par ce travail hors pair ! Je reste ébahi à la découverte de Stéphane Plaza Bis, ma statue de cire ! Un rêve d’enfant, je vais être avec les plus grands : d’Hitchcock à Thomas Pesquet !» a-t-il écrit.
Une décision polémique
Malgré son émotion, l’ancien agent immobilier a gardé son légendaire humour : «Je serai peut-être placé à côté de mon double George Clooney ou de Brad Pitt !», s’est-il interrogé.
Dans la seconde partie de son message, Stéphane Plaza a salué le savoir-faire des artistes de l'atelier, qui confectionnent les statues : «C'est avec des yeux d'enfant que je découvre tous les employés qualifiés pour fabriquer un personnage ! Des artistes à part entière, avec un talent inouï ! 6 mois de travail, 15 personnes pour fabriquer un seul personnage. Admirez ce travail, cette précision, cette maîtrise, à la ride prêt de mon moi qui est moi», a-t-il écrit.
La décision du Musée Grévin avait provoqué une controverse. En octobre dernier, le parquet de Paris a en effet ouvert une enquête préliminaire concernant Stéphane Plaza, pour des accusations de violences conjugales provenant de deux de ses anciennes compagnes, l’accusant de «maltraitances» et de violences verbales et physiques.