France TV a dévoilé une première image de sa série consacrée à Brigitte Bardot, série dont l'actrice principale ressemble trait pour trait à l'icône des années 1960.
La ressemblance avec BB est bluffante. Dévoilée ce 13 juin, la première image extraite de la mini-série consacrée à Brigitte Bardot révèle, sous les traits de l’icône des années 1960 Julia de Nunez, une jeune actrice de 20 ans encore inconnue du public.
Formée à l'école d'art dramatique Périmony (établissement qu’ont notamment fréquenté Fanny Ardant, Jean-Pierre Bacri, ou encore François Cluzet), elle sera la star des six épisodes de 52 minutes de «Bardot», mini-série ecrite et réalisée par Danièle Thompson et son fils Christopher.
Elle est la première star française dont l’image franchit toutes les frontières et influence toutes les modes.
"Bardot", votre mini-série événement, avec Julia de Nunez, bientôt sur France 2 ! pic.twitter.com/I5uMEOs3ud— France 2 (@France2tv) June 13, 2022
«Bardot» reviendra sur l’histoire de cette «figure incontournable du 7e Art», en se concentrant sur ses débuts, «de son tout premier casting à 15 ans au tournage de La Vérité de Clouzot, 10 ans plus tard», annonce le groupe France Télévision. Entre temps, la star connaîtra à 22 ans, la consécration avec «Et Dieu créa la Femme», devenant un sex-symbol international.
Sont notamment également annoncés au casting : Victor Belmondo, petit-fils de Jean Paul, qui incarnera Roger Vadim, l’ex-mari de Brigitte Bardot, Géraldine Pailhas et Hippolyte Girardot qui incarneront les parents de l’actrice, mais aussi Yvan Attal, dans la peau de Raoul Levy et Anne Le Ny celle d’Olga Horstig. La diffusion devrait avoir lieu en 2023 sur France 2.
Le synopsis officiel : «Bardot, c’est l’histoire d’une jeune fille qui, comme toutes les autres, cherche l’amour et la réussite, mais dont les rêves se fracassent contre l’hystérie qu’elle déchaîne.
Brigitte Bardot, petite fille du 16e arrondissement de Paris à l’éducation stricte, se trouve laide et se sent mal aimée. Elle va grandir, s’émanciper, braver tous les codes grâce à sa rencontre avec son premier amour, Roger Vadim. En 1956, la sortie du film de ce jeune homme, «Et Dieu… créa la femme», dont Brigitte est l’héroïne, provoque une révolution sexuelle mondiale dont elle devient l’icône.
Bardot assume sa sexualité, ne veut être ni une bonne épouse ni une mère de famille. Elle se permet de choisir ses hommes, de s’habiller et de se déshabiller comme elle l’entend, de dire ce qui lui passe par la tête. Cette liberté sans faille la propulse dans l’œil médiatique et déchaîne autant de haine que d’adoration.
Elle devient la muse d’une parenthèse enchantée, d’une époque où les pulsions irrépressibles sont enfin libérées. Elle est la première star française dont l’image franchit toutes les frontières, influence toutes les modes et crée une onde de choc qui atteint jusqu’aux villages les plus reculés de la planète.
Le destin extraordinaire de cette jeune femme, conte de fées qui vire parfois au cauchemar, dresse aussi le portrait d’une époque : la France de l’après-guerre qui passe du noir et blanc à la couleur, qui se gorge d’insouciance, de plaisir et de soleil dans ce nouveau paradis qu’est Saint-Tropez et dont Bardot devient la déesse».