M6 a annoncé que la 16e saison de L’Amour est dans le pré serait lancée ce lundi 30 août à 21h05. Les téléspectateurs retrouveront donc ce jour-là les candidats dont ils avaient découvert les portraits en février dernier.
Entre ouverture des lettres des prétendant(e)s, speed-datings puis séjour à la ferme pour celles et ceux qui auront fait battre leur cœur, l'animatrice Karine Le Marchand promet de nouveaux épisodes pleins de joie et de punchlines…
Agés de 27 à 62 ans, les nouveaux participants viennent des quatre coins de la France et, pour la première fois, de Suisse également.
Certains ont connu de douloureux échecs amoureux, d’autres ignorent tout des choses de l’amour. Et tandis qu'une partie d'entre eux rêvent de fonder une famille, d'aucuns n'aspirent qu'à profiter de la vie à deux. «Mais ces 9 hommes et 3 femmes ont tous un point commun : le désir profond de trouver l’élu(e) de leur cœur»...
Nathalie, 49 ans, éleveuse de veaux sous la mère (Pays de la Loire)
Nathalie est la «Barbie Girl» de cette saison 16, comme la décrit la chaîne. Et pour cause, elle voue un culte à la couleur rose, une passion qui se voit partout chez elle, du canapé au frigo en passant par la voiture. A la tête d’un cheptel de veaux élevés «sous la mère», Nathalie est mère de trois grands enfants et grand-mère quatre fois. Elle travaille avec sa fille Samantha et son fils cadet Loyd qui les a rejoint à mi-temps. Maman comblée, femme et éleveuse accomplie, la tornade Nathalie est aujourd’hui à la recherche d'un homme gentil, positif, généreux et actif, si possible bricoleur et prêt à croquer la vie en rose à ses côtés.
Valentin, 27 ans, producteur de fleurs comestibles et maraîcher (Bretagne)
Valentin, le benjamin de cette saison, n’est pas un horticulteur classique mais un «créateur de plaisirs», dont les terres et les serres hébergent plus de 300 variétés de légumes et fleurs. Valentin souffre d'un manque de confiance auprès de la gente féminine. Il n’a connu qu’une seule relation à 18 ans, qui n’a pas duré longtemps. En attendant de trouver chaussure à son pied, Valentin occupe l’étage de la maison familiale, ses parents étant absents la semaine. Il cherche une jeune femme gentille, sincère, qui accepte sa passion des fleurs, et qui ait envie de lui prendre la main et de lui montrer qu’il est bourré de charme, d’intelligence et d’humour. Physiquement, il a une préférence pour les cheveux longs.
Vincent «Le Provençal», 40 ans, spectacles équestres (Provence-Alpes-Côte d’Azur)
Dresseur de chevaux «en liberté», Vincent réalise des spectacles équestres dans toute la France et en Europe et organise également des stages au sein de ses installations. Papa de deux enfants de 8 et 3 ans, Vincent est séparé de la maman depuis un peu plus d’une année, après onze ans de vie commune. Passé un temps pour se reconstruire après la profonde blessure de sa rupture, le voici aujourd’hui prêt à laisser cet échec derrière lui et à retrouver l’amour. Il aspire à rencontrer une jolie trentenaire avec qui profiter tous les jours de la vie qu’il a construite, sans prise de tête. Romantique, il a très envie de faire plaisir, et donnera tout à la femme dont il tombera amoureux.
Jean-François, 48 ans, éleveur de brebis et porteur funéraire (Occitanie)
Jean-François est le berger traditionnel de cette saison, avec son patois, son béret, son bâton de berger bien-sûr et surtout son amour pour sa région et ses traditions. Eleveur de 450 brebis et agneaux qu’il élève avec Clément son fils et Manon sa fille qui les aide occasionnellement, il est séparé depuis près de quinze ans de la mère de ses enfants avec qui il s’est installé très jeune. Très soucieux de leur bien-être, ce papa courage a mis sa vie privée entre parenthèses pour leur consacrer la majeure partie de son temps libre, et a même pris un second emploi aux pompes funèbres pour s’assurer qu’ils ne manquent de rien. Il est aujourd’hui prêt à retrouver sa vie d’homme et à vibrer à nouveau. Il rêve d’une jolie brune pourquoi pas un peu plus grande que lui (1m70), plutôt fine mais surtout joyeuse, sociable et attentionnée, pour embrasser un bonheur simple dans ses montagnes.
Delphine, 47 ans, arboricultrice bio (Occitanie)
Arboricultrice depuis 2012, Delphine produit des cerises, des prunes, des kakis et du raisin de table. Entière, sportive, bricoleuse (elle a refait entièrement sa maison) et bikeuse, Delphine dégage une certaine assurance et beaucoup de force. Pourtant, son passé amoureux est bien loin des apparences. Elevée dans la tradition catholique, Delphine n’a pris conscience de son homosexualité qu’à 25 ans et n’a connu que deux histoires d’amour dans sa vie («je n’avais jamais vu deux filles s’embrasser, je ne savais même pas que ça existait»). Sa relation la plus forte a duré douze ans avec Patricia. Célibataire depuis un an et demi, Delphine recherche une femme nature, sportive, féminine et positive, qui assume son homosexualité et se dit prête à vivre une belle histoire. Avec ou sans enfants, car notre agricultrice ne sait pas très bien si elle a la fibre maternelle. Amoureuse de sa «Harley de crâneuse» et des sports aquatiques, Delphine a un côté aventurière qui lui donne beaucoup de charme et possède comme une ado une «chambre secrète» où elle joue au baby-foot, au billard et au flipper.
Sébastien, 46 ans, lavandiculteur et éleveur de vaches Aubrac (Auvergne-Rhône-Alpes)
Sébastien cultive la lavande et la distille pour obtenir des huiles essentielles. Amoureux des animaux, il possède également un petit troupeau de quelques vaches Aubrac qu’il élève en totale liberté. Installé à son compte depuis 2008, Sébastien, bien qu’agriculteur dans l’âme, a occupé pendant dix ans un emploi de responsable technique pour des machines à glaces. Ce n’est qu’au décès de son grand-père qu’il a repris l’exploitation pour enfin vivre sa passion. Papa (très) fusionnel d’un petit garçon de 10 ans dont il a la garde, Sébastien est divorcé depuis trois ans. Tant grand bavard que grand sensible et toujours en quête de projets à partager, il est à la recherche d’un vrai coup de cœur, a un faible non dissimulé pour les femmes pulpeuses et voudrait une compagne plus calme que lui pour tempérer son fort caractère. Il ne souhaite plus d’enfants mais acceptera avec plaisir ceux de celle qui partagera sa vie.
Jean-Daniel, 53 ans, vignerons et éleveur de vaches Herens (Suisse)
Premier agriculteur suisse à participer à L’amour est dans le pré avec Paulette, une autre célibataire de ce cru 2021, Jean-Daniel est vigneron et produit des vins de prestige pour des restaurateurs et une clientèle d’habitués. Papa d’une grande fille de 17 ans avec qui il noue un lien très fort, Jean-Daniel a vécu neuf ans en couple avec la maman et n’a plus eu de grande histoire d’amour depuis leur séparation il y a douze ans. Déçu par les quelques rencontres qui ont suivi, il est même «totalement chaste» depuis quatre ans. Epicurien, original, généreux et sensible, attaché au partage et à la transmission, Jean-Daniel a un peu perdu confiance en lui et envers les femmes mais rêve d’une compagne entre 45 et 55 ans, sincère, fidèle, calme pour trancher avec son caractère tout feu tout flammes, aimant la terre, les animaux et la nature et qui saura lui redonner foi en l’amour.
Hervé «le moustachu», 58 ans, éleveur de porcs et céréaliers (Île-de-France)
Hervé gère un élevage de cochons, une ferme héritée de sa famille. Joueur collectif dans l’âme, Hervé pratique le basket, le handball, le volley et la pétanque et adore recevoir sous sa grande grange. Poussé à s’inscrire par ses copains qui disent de lui le plus grand bien, il a eu très envie de saisir cette chance car «tout seul, (il) n’arrive pas à faire le premier pas». Hervé n’a connu qu’une histoire d’amour qui lui a donné trente belles années de mariage et deux beaux enfants. Séparé depuis trois ans, il a fait quelques rencontres depuis mais à l’époque n’était pas encore prêt à tourner cette page importante de sa vie. Aussi sociable en public que pudique et réservé dans le privé, le voici désormais à l’aube d’un nouveau chapitre. Hervé aimerait une femme «brune, blonde ou rousse» (tout lui va), rigolote, joyeuse, positive et avec du caractère. Il accorde une attention particulière au sourire qui d’après lui «dit beaucoup de choses».
Hervé «le Picard», 42 ans, éleveur de vaches laitières et polyculture (Hauts-de-France)
Elevé dans la ferme familiale où il a passé une enfance heureuse, Hervé a naturellement repris l’activité de ses parents à leur retraite et s’épanouit pleinement dans cet univers agricole. Encore logé chez eux à 43 ans, «par habitude» plus que par peur de l’indépendance, notre Tanguy des champs de la saison avoue sans gêne sa virginité et ne se formalise pas : pour lui, son célibat s’explique par la routine qui s’est instaurée dans sa vie à la ferme. Hervé, qui voit toujours la vie du bon côté et avec beaucoup d’humour, cherche une femme sincère, gentille et positive, comme lui, prête à se lancer dans une vie à deux. Il est prêt à accueillir les enfants de sa future compagne si elle en a, n’a pas de critères physiques prédéfinis et aimerait qu’elle soit un peu entreprenante pour pallier son inexpérience des relations amoureuses.
Paulette, 62 ans, éleveuse d’ânes, fabrication de savon, buvette en montagne (Suisse)
Paulette élève une vingtaine d’ânes, pour fabriquer et vendre du savon au lait d’ânesse et tient une buvette d’altitude l’été et un bar à neige l’hiver. Active et indépendante, Paulette aime la moto, danser, pratique le ski et adore le bateau, sans oublier Johnny à qui elle voue une vraie passion ! Paulette a deux grands enfants qui ne souhaitent que le bonheur de leur mère. Après une première relation toxique, Paulette est repartie de zéro mais n’a pas été plus heureuse en amour depuis. Elle a très envie de tomber amoureuse d’un homme de son âge, entre 60 et 65 ans, ouvert, curieux, sensible à l’écologie (Paulette est végétarienne), avec du savoir vivre, joyeux, qui aime les animaux et la montagne.
Franck, 46 ans, sylviculteur et maraîcher (Nouvelle-Aquitaine)
Franck est sylviculteur et forestier, une profession englobant tous les métiers relatifs au bois, de la prospection à la commercialisation. A 46 ans, lui qui n’envisageait pas de s’engager avant d’avoir une situation stable, n’a eu qu’une seule relation sérieuse d'un an, avec une femme habitant à plus de 100 kilomètres de chez lui. Solitaire passionné de nature, il occupe son temps libre à pêcher, chasser, faire du bateau sur la rivière qui borde ses terrains et se promener avec son labrador Oregon qu’il considère comme son fils. Mais c’est aussi un bon vivant plein d’énergie. Franck recherche une femme gentille, cultivée, avec des formes, raffinée et avec du caractère comme lui pour lui tenir tête.
Vincent «le vigneron», 51 ans, vigneron (Provence-Alpes-Côte d’Azur)
Vincent et son frère Bruno ont repris l’exploitation à la retraite de leur père et l’ont fait fructifier. Ils se sont répartis les tâches et Vincent s’occupe de la vinification, de l’assemblage et de la commercialisation de leur vin, ce qui lui convient parfaitement quand on voit son bagou. Vincent a eu deux grandes relations. De belles histoires d’amour qui, par manque d’envie et pour raisons médicales, n’ont néanmoins pas exaucé le rêve de sa vie : devenir père. Une «putain de gifle» qui l’a longtemps fait s’interroger : «est-ce mon destin, moi qui voulais tant devenir père ?». Bon vivant et épicurien très entouré, Vincent a également connu une sacrée épreuve avec une rupture d’anévrisme qui l'a plongé six semaines dans le coma. Il faut dire qu’à l’époque il faisait 160 kilos et fumait 6 cigares par jour ! Il aimerait rencontrer une femme de 35 à 55 ans, qui ait envie, comme lui, de profiter pleinement des joies de la vie, sociable, joyeuse, indépendante, intelligente et avec du caractère (indispensable !). Il accueillera bien-sûr sa progéniture avec plaisir et espère que le destin lui réservera cette fois une jolie surprise.
(Photos Cecile ROGUE/M6).