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Bilbon dans l’antre du dragon

Bilbon Sacquet (Martin Freeman).[© Warner]

Un an après le succès du premier volet, qui a rapporté près de 730 millions d’euros, le cinéaste néo-zélandais Peter Jackson, auteur de la saga Le Seigneur des anneaux, signe le deuxième opus de sa trilogie adaptée de l’œuvre de J. R. R. Tolkien, Le Hobbit : la désolation de Smaug.

 

Avec l’aide du magicien Gandalf le gris, Bilbon Sacquet (Martin Freeman), part reconquérir le mont Solitaire et le royaume perdu des nains d’Erebor. Pendant leur voyage, qui les mène au sein de la Forêt noire et au village de Lacville, ils doivent défier une armée d’orques, d’araignées géan­tes et autres elfes sylvestres, avant d’affronter le dragon Smaug, violent et machiavélique.

 

Du diptyque à la trilogie

A l’origine, Peter Jackson avait imaginé cette série d’aventures, tournée en 3D, en deux parties, avant de songer à un troisième acte pour plus de cohérence, malgré les doutes des fans.

Avec ses scénaristes, il a ajouté les 125 pages que l’écrivain avait intégrées à la fin du Seigneur des anneaux pour retracer la chronologie des faits.

«Je voulais qu’il y ait une unité et que Le Hobbit n’ait pas l’air plus modeste, a récemment expliqué le réalisateur lors d‘une conférence de presse. Dans un roman, l’auteur est celui qui vous emmène dans l’histoire […]. Mais dans les films, il faut (la) raconter avec des dialogues et des personnages

Les milliers de fans de Tolkien découvriront le dernier volet "Le Hobbit : histoire d’un aller et retour" en salles dans un an. Un ultime épisode épique qui devrait clore l’aventure.

 

Le Hobbit : la désolation de Smaug, de Peter Jackson.

 

 

 

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