Harry Deane en a assez de se faire rabaisser par son patron, Lionel Shabandar, un magnat des médias. Il imagine alors une arnaque pour lui faire acheter un faux tableau de Monet et empocher ainsi un peu plus de 11 millions de dollars.
Pour mener à bien son plan, il a besoin de l’aide de PJ Puznowski, championne de rodéo tout droit sortie de son Texas natal.
Ecrit par les frères Coen, qui assouvissent de nouveau – après Ladykillers – leur penchant pour la réécriture de classiques de la comédie hollywoodienne, Gambit, arnaque à l’anglaise joue sur le ressort comique du choc des cultures.
Le flegme britannique de Colin Firth contrastant avec la spontanéité d’une Cameron Diaz très en forme.
La bande annonce
Gambit, arnaque à l’anglaise, de Michael Hoffman. En salles.
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