Son arrivée aux Sables d’Olonne n’est pas prévue avant une bonne semaine. Mais ^pour Sébastien Destremau, dernier du Vendée Globe, la fin de l'aventure risque de tourner au calvaire. Parti le 6 novembre dernier, il manque désormais de nourriture.
Le skipper français est donc contraint de se rationner après 115 jours de course. Pour pouvoir tenir jusqu’à la fin, il ne s’autorise désormais qu’«un repas par jour» comme il l’a confié à Franceinfo. Il avait pourtant prévu des réserves jusqu’au 4 mars, mais l’ancien journaliste sportif a eu la mauvaise surprise de voir une partie de son stock de nourriture inondée il y a quelques jours.
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«Quand tu découvres ça, c’est un coup dur», a indiqué Sébastien Destremau. S’il a jugé la situation «pénible», il n’est pas pour autant affamé. «Je ne suis pas mort de faim», a-t-il assuré. Pour pouvoir tenir le coup et pallier au manque de nourriture, il a été contraint de se débrouiller et de trouver des solutions. Il s’est ainsi essayé à la pêche, même s’il a lui-même admis «ne pas être très bon». Et vogue la galère…
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— Vendée Globe (@VendeeGlobe) 1 mars 2017