Depuis quelques jours, la marque américaine de biscuit Oreo est dans la tourmente. Sur les réseaux sociaux, le fabricant est accusé par les consommateurs de pratiquer «l’inflation cachée» en réduisant la quantité de crème présente entre les deux biscuits.
Le crème de la discorde. La marque de biscuits Oreo est accusée par ses consommateurs d’avoir réduit la part de crème présente dans son produit emblématique malgré une hausse des prix. Une affaire qui prend de l'ampleur depuis la parution d'une enquête sur le sujet dans le très sérieux Wall Street Journal.
«Cela devient ridicule», a déclaré une internaute dans une vidéo où elle compare les quantités de crème entre les biscuits Oreo vendus en Angleterre et ceux vendus aux Etats-Unis.
@curiouslysarah #stitch with @Natalia the Buff Engineer If they can make them with the old filing here, why can’t they do it there. I call bull #america #shrinkeconomics #oreo #oreofilling #fyp #livingabroad #inflation original sound - Sarah Smith
Une autre a dénoncé le fait que les Oreo double stuff où il est censé y avoir deux fois plus de crème sont à présent autant garnis que les Oreo normaux avant la shrinkflation (inflation cachée). «Il faut que cela cesse, cela devient de la folie», a-t-elle conclu.
@emily_minnesota #shrinkflation #recession #oreos #doublestufforeo #doublestufforeos #oreosandmilk #milkamdcookies original sound - emily_minnesota
Une polémique qui risque de ternir l’image de l’entreprise qui a vendu en 2021, selon les chiffres de Mondelez International, société mère d’Oreo, plus de 40 milliards de biscuits dans le monde.