La reconnaissance faciale, capable de suivre des individus, permet d'alerter des groupes et personnes trop proches les uns des autres.
La capitale russe met en place ce système afin de détecter au plus vite tous les cas.
Une surveillance qui inquiète des groupes de défense des droits de l'homme et des droits numériques, car d'après eux, il n'y a pas une seule loi qui règlemente l'utilisation de la technologie.