Le sélectionneur de l'équipe de France s'apprête à disputer sa première finale de Coupe du monde sur un banc, la deuxième de sa vie après celle victorieuse de 1998.
Et comme à l'époque, Didier Deschamps s'impose comme le véritable patron d'un groupe, où sa parole est maîtresse. La preuve avec des choix forts en amont du Mondial, comme celui d'écarter Karim Benzema ou de se passer d'Adrien Rabiot.
Il ne reste plus qu'un match à gagner pour confirmer que ses décisions fortes étaient les bonnes.