Ces images de patients intubés, c'est le quotidien des soignants du service réanimation de l'hôpital Georges-Pompidou depuis plus d'un an.
Les vingt lits du service sont aujourd'hui occupés et la courbe ne semble pas s'inverser.Pour faire face à cet afflux de personnes infectées par la Covid-19, des opérations ont été déprogrammées pour libérer des lits et des soignants.
Ophélie Girault en fait partie. L'équipe médicale appréhende le départ des infirmiers une fois la crise passée.Pour l'heure, le pire scénario est encore envisagé. L'établissement pourrait passer de 45 à 135 lits de soins intensifs.