Dans les murs de la prestigieuse école parisienne de Sciences Po, l’écriture inclusive se démarque.
Ces deux dernières années, son utilisation a même été encouragée par un professeur de sociologie au cours d’un examen.
L’écriture inclusive utilise une graphie particulière dans le but de bannir toute suprématie supposée du masculin sur le féminin. Face à sa promotion, certaines associations étudiantes de l’école de Sciences Po montent au front et dénoncent un militantisme politique.
Certains députés ont lancé une proposition de loi pour interdire l’utilisation de l’écriture dans tous les documents administratifs.
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