La future loi sur le séparatisme va s'intéresser aux financements des lieux de cultes provenant de l'étranger. Le but principal est de les rendre le plus traçable possible.
Les travaux de la future mosquée d'Angers ont commencé en 2014, aujourd'hui ils sont à l'arrêt car il manque plus d'un million d'euros. En octobre dernier, le conseil municipal s'est opposé à la cession du terrain au Maroc, qui était prêt à financer le chantier.
L'association des musulmans d'Angers a relancé sa cagnotte auprès des fidèles, mais n'abandonne pas la piste marocaine. Le porte-parole affirme que la nouvelle loi ne s'oppose pas, par principe, à tout financement étranger.