C'est une scène qui se répète depuis plusieurs jours dans l'agglomération strasbourgeoise.
Des centres de dépistage vides alors qu'il y a quelques semaines, il fallait attendre avant de pouvoir se faire dépister. Pour la mairie, cette baisse des dépistages est psychologique pour la population, saturée par une épidémie qui n'en finit pas.
Pour l'Agence régionale de santé (ARS), qui enfonce le clou, c'est même un déni.