Avant le deuxième confinement, 600 personnes par jour passaient un test PCR dans cette salle mise à disposition par la ville de Nantes.
Elles sont à peine une centaine aujourd'hui. Ici, on parle peu de la vaccination. Et lorsque l'on pose la question, c'est plutôt l'indécision qui domine.
Pour lever le doute des patients et faire baisser la tension sur cette question, des généralistes estiment que la parole politique ne suffira pas et que seul le médecin traitant pourra apporter la confiance nécessaire.