François Bosco, gérant d'une boucherie parisienne, n'a pas une minute à lui. Malgré ce deuxième confinement, les clients répondent présents. Son chiffre d'affaires a augmenté de 10% par rapport à l'année dernière à la même époque.
Lors du premier confinement, cette fromagerie a été prise d'assaut au point de manquer de marchandises. Cette fois, les clients semblent plus raisonnables.
Des commerçants qui s'estiment chanceux dans un contexte beaucoup plus difficile pour d'autres types de commerces.