Avant l'attentat, Samuel Paty avait été menacé sur les réseaux sociaux pour avoir montré les caricatures de Charlie Hebdo à ses élèves.
Des plate-formes, aujourd'hui dans le viseur du gouvernement, car sur Facebook comme sur Twitter, de nombreux individus se radicalisent.
Une bataille décisive mais pourtant complexe car ses échanges sur internet sont difficiles à détecter.