Derrière ces murs aussi, l'épidémie dicte sa loi. Pour être capable de réagir à n'importe quelle crise, les 250 hommes du RAID, basés à Bièvres, ont dû s'adapter.
Les équipes ont été séparées pour éviter le scénario vécu par leurs collègues de l'antenne du RAID à Nancy, où les trois quarts des effectifs ont contracté le coronavirus.
Jean-Baptiste Dulion, chef du #RAID : « On a séparé les équipes pour éviter la contamination » pic.twitter.com/dKn6xuky8M
— CNEWS (@CNEWS) May 1, 2020