Depuis le 23 mars, des centaines de personnes présentant des symptômes -ou pas- patientent pendant des heures pour se faire dépister.
Avec l'aide des marins pompiers, les mesures de sécurité sont respectées.
Ces derniers aident également à améliorer les conditions d'attente afin de faciliter le travail dans l’enceinte de l’IHU, où s’effectuent les diagnostics.