A Wattrelos (Nord), un salarié d’un grand groupe de vente par correspondance a été mis à pied pour avoir mangé une clémentine à son poste de travail. Que dit la loi française sur les temps de repos et de repas dans les entreprises ?
Travaillant dans des conditions difficiles, debout pendant plusieurs heures d’affilée, le salarié qui conteste sa mise à pied explique avoir eu besoin de manger pour ne pas fléchir.
Décision attendue en novembre
Les faits qui datent de 2017 sont jugés aux Prud'hommes de Roubaix (Nord). Une décision sera rendue le 14 novembre prochain.