Si l'exécutif décide de supprimer un jour férié, le gain financier serait d'au moins 3 milliards d'euros pour l'Etat. C'est ce qu’a rapporté l'an dernier la journée de solidarité.
Un sacrifice nécessaire pour Aurore Bergé, la porte-parole LREM, mais pour l'opposition, le moment est mal choisi.
En 2004, le lundi de Pentecôte avait été supprimé, aujourd’hui, il est de nouveau férié, et les entreprises fixent librement les modalités. Mais la création d'une deuxième journée serait néanmoins insuffisante pour financer la dépendance, estimée à 10 milliards d'euros au minimum.