Le secrétaire général délégué des Républicains (LR), Guillaume Larrivé, a interpellé le Premier ministre, Édouard Philippe, sur le coût du grand débat dans un courrier publié samedi.
Il accuse aussi Emmanuel Macron de l'utiliser à des fins électorales, à l'approche des élections européennes.
Un sentiment partagé par l'opposition, pour qui le temps de parole du chef de l'Etat interroge.
Plusieurs partis ont saisi le Conseil supérieur de l'audiovisuel (CSA) sur ce point. Mais l'organisme l'a rappelé : les interventions présidentielles rentrent dans le calcul du temps de parole de l'exécutif.