En exercice d'équilibristes quand il s'agit d'évoquer le mouvement des «gilets jaunes», les politiques ne se sont pas fait prier pour réagir aux mesures contre les casseurs dévoilées lundi par Édouard Philippe.
Certains responsables politiques accusent le Premier ministre de botter en touche, et d'autres, comme les Républicains, souhaitent que le gouvernement aille plus loin avec l'instauration de l'état d'urgence ou plus d'autorité de la part des forces de l'ordre.
La loi anti-casseurs sera débattue à l'Assemblée nationale au cours du mois de février.