Emmanuel Macron a souhaité jeudi en Martinique, que l'Etat prenne sa part de responsabilité sur la pollution au chlordécone, pesticide cancérogène longtemps utilisé aux Antilles.
Pour le président, «l'état des connaissances scientifiques (...) ne permet pas de certifier» la dangerosité de la molécule pour la santé humaine.
«Il ne serait pas responsable de dire qu'il y a une réparation individuelle pour tous», a-t-il souligné. Il est en revanche «possible d'avancer davantage sur la question des maladies professionnelles pour les personnes particulièrement exposées à la molécule», selon Emmanuel Macron.