Elle est désormais protégée par un label : la choucroute alsacienne devient reconnue et athentique. Un label que les producteurs attendaient depuis vingt ans. Une reconnaissance qui permet également une valorisation du circuit court dans la région.
Désormais, pour s'appeler «choucroute d'Alsace», il faudra le mériter. Ce légume répond à un rythme bien particulier : une fois cultivé, le chou est coupé, salé puis mis en cuve pour plusieurs mois de fermentation.
À elle seule, l'Alsace produit 70 % des choucroutes de France et 20 % du marché européen, soit l'équivalent d'environ 28.000 tonnes de choucroute par an.