Les apiculteurs préfèreraient entendre leurs abeilles bourdonner, mais dans beaucoup de ruchers, plus une seule n'est en vie. La faute aux pesticides, selon eux.
Contraints de brûler leurs ruches, que les déchetteries ne peuvent pas prendre en charge, les apiculteurs aimeraient que l'État reconnaisse une catastrophe écologique, et les indemnise.
Des représentants de la filière ont été reçus lundi 19 juin à l'Élysée, et ils étaient ce mardi à Brest avec le ministre de l'Agriculture.